Partis politique pour la cause animale
Bienvenu à DierAnimal qui est le premier parti animaliste unifié, national et bilingue en Belgique. Ensemble, nous formons le visage et la voix des animaux, et ensemble nous voulons construire une société plus équitable pour tous, dont l'humain n'est pas le centre d'intérêt unique. Choisir DierAnimal, c'est choisir pour une vision éthique et durable à long terme, au lieu d'intérêts à court terme.
CHASSELa chasse sera formellement interdite sur tout le territoire. Cette pratique, activité, passe-temps barbare n'a plus lieu d'être dans une société saine et évoluée. Une poursuite judiciaire sera envisagée à l’encontre de tout individu pratiquant la chasse. La biodiversité et la dynamique au sein de la nature ne peut, ne doit pas être changée par la main de l’homme.DierAnimal veut que les animaux vivants dans la nature soient laissés en paix.Dans notre petit pays l’espace vital de ces animaux est de plus en plus restreint. Maintenant que les animaux sont obligés par la force des choses de vivre à proximité des humains, on les considère trop facilement comme une nuisance. On lutte contre ces animaux avec les pires moyens, souvent sans autre résultat que la mort de nombreux animaux.La chasse exercée par des chasseurs amateurs, souvent menée sous le prétexte de la gestion des populations, doit disparaître. Des millions d’animaux sont tués chaque année et de nombreux animaux sont blessés. De jeunes animaux restent orphelins, les relations entre les partenaires ainsi que les hiérarchies des groupes et la dynamique de la population sont cruellement perturbés. C’est la chasse qui cause la surpopulation, puisqu’à cause de la disparition de grands nombres d’animaux, l’année suivante naissent plus de jeunes par compensation.Le placement et la nourriture d’animaux, spécialement élevés pour la chasse dans la nature rompent l’équilibre naturel. Comme les faisans élevés et ensuite libérés dans l’unique but d’être pourchassés. La valeur intrinsèque et la protection d’animaux vivant dans la nature seront le point de départ de la gestion. Des animaux vivant dans la nature ne seront pas tués. Uniquement pour des raisons d’urgence, par exemple la souffrance grave d’un animal ou une menace pour la santé publique pourront être des motifs pour une exception. La décision sera dans les mains des autorités après consultation d’experts indépendants, de même pour la responsabilité d’une exécution correcte et professionnelle.</li><li>Les amateurs ne pourront plus tuer des animaux vivant dans la nature.</li><li>La capture d’animaux dans la nature sera traitée avec plus de supervision sur le terrain et des peines plus sévères.</li><li>Des fonctionnaires qui doivent superviser la chasse à partir d’un rôle de contrôle, ne peuvent pas avoir des liens financiers avec les chasseurs qu’ils doivent superviser.</li><li>L’organisation d’un tourisme de chasse, en Belgique et à l’étranger sera interdit, de même la publicité pour ce genre d’activités.</li><li>Les animaux ne peuvent pas être dérangés pendant des périodes vulnérables telles que les périodes de la portée, de la mue, de couvaison et d’allaitement. L’état s’occupe du soin pour les animaux sauvages qui ont été blessés. Les instances de l’état aident les refuges pour ces animaux aussi bien au niveau financier qu’au niveau de leur professionnalisation
ESPÈCES MENACÉES La Convention sur le Commerce International des Espèces Menacées (CITES – Convention on International Trade on Endangered Species) ou Convention de Washington, est le plus important accord mondial pour la protection des espèces vivantes. Signée le 3 mars 1973 par 21 états, elle compte aujourd’hui 183 pays signataires, dont la Belgique depuis 1983.Le commerce des espèces sauvages de plantes et d’animaux à travers le monde est une activité importante et lucrative estimée à plusieurs milliards d’euros par an. S’il n’est pas surveillé ou réglementé, ce commerce peut menacer la survie de ces espèces dans la nature. C’est pour cette raison que les Nations Unies ont instauré la Convention CITES.Dans cette convention il est entre autres repris quelles espèces animales sont menacées par une extinction et pourquoi elles méritent de la protection. Les règles dans ce traité sont claires, mais l'implémentation laisse à désirer. Ainsi, des millions d'animaux sont transportés de manière illégale à travers le monde. La souffrance animale suite au commerce international d'animaux protégés est très grande. Les montants énormes qui découlent du commerce d'animaux menacés et le marché lucratif pour animaux illégaux et produits animaliers d'origine exotique font que les commerçants ne cesseront pas facilement leurs pratiques. La seule manière de vraiment protéger les espèces en voie de disparition est une application et des sanctions ciblées et rigoureuses. L'UE doit y travailler.
Principes généraux
DierAnimal a pour principe que tous les animaux puissent vivre en liberté. Ce pourquoi, là, où il est décidé de maintenir des animaux en détention pour la production, il faudra satisfaire à certaines conditions.Le parti se base sur les 5 libertés de base pour les animaux d'élevage, comme définies par le Comité britannique du Bien-Être Animal Brambell en 1965. Les animaux d'élevage ont droit à :
- L’absence de faim, de soif et de nourriture inappropriée
- Un hébergement adapté
- L’absence de douleur, de blessures et de maladies
- La possibilité d’exprimer le comportement normal de leur l’espèce
- L’absence de peur et d’anxiété
Au niveau européen, la Directive 98/58/CE du Conseil de l’Union européenne concernant la Protection des animaux dans les élevages ne donne pas d’instructions spécifiques pour toutes les interventions et renvoie à la législation nationale des Etats.
Infrastructure des élevages
Pour mettre fin aux élevages intensifs et industriels, le parti veut imposer des nouveaux quotas aux fermes lucratives, de type traditionnelles et biologiques. Les fermes industrielles ne peuvent en aucun cas être considérées comme éthiques. Même un élevage biologique peut actuellement détenir jusqu’à 5000 poules et ceci est inadmissible.
- Le développement et l’implantation des fermes d’élevages à grande échelle seront interdits.
- Tous les animaux dans les élevages auront le droit de sortir librement au grand air et auront suffisamment d’abris à l’extérieur.
- Dans les étables, les animaux disposeront de suffisamment d’espace, de paille et de matériel de divertissement.
- Des nouveaux systèmes d’étables seront tout d’abord testés au niveau de leurs effets sur le bien-être animal et l'environnement avant qu’ils ne puissent être utilisés dans la pratique. Toutes les étables existantes seront soumises à un tel audit de manière rétroactive.
Hygiène
- Les fermes devront maintenir les animaux dans des locaux propres. Les contrôles de l’hygiène doivent se faire dans la transparence totale. Nous voulons que des contrôles sans avertissement aucun, soient aussi menés par les associations de protection animale qui seront assermentées. Si les enquêteurs de ces associations constatent un défaut d'hygiène conséquent, un manquement, un non-respect de l'animal, la ferme, l'élevage sera immédiatement suspendu et l'exploitation en question devra payer une amende pour chaque animal maltraité ou mort. Chaque animal est un individu. Cette mesure leur fera prendre conscience, qu'ils ne peuvent plus détenir autant d'animaux. La suspension devrait pouvoir entraîner une fermeture définitive. Cette mesure vise à ce que les éleveurs se rendent comptent que les animaux ne sont pas des produits.
Sécurité incendie
- Les critères de sécurité incendie pour les installations nouvelles et existantes deviendront beaucoup plus contraignants. Des extincteurs automatiques à eau seront obligatoires et les animaux devront, en cas d’incendie disposer de la possibilité de fuir l’étable.
- Le nouveau ministère de la Protection Animale supervisera activement l’instauration et l’application des règles de sécurité incendie au niveau des étables et des logements d’animaux. Au plus tard en 2021 toutes les exploitations doivent être conformes à ces nouvelles règles de sécurité.
Élevage de poules
- Le parti veut une interdiction imminente des élevages de poules en batterie et élevées au sol.Il est urgent de mettre fin à ces exploitations de poules détenues en cage ou dans un espace restreint, qui ne voient jamais la lumière du jour, sont maintenues dans des conditions totalement épouvantables et soumises à une lumière artificielle et ce parfois 24h/24h.
- Les éleveurs de poules pourront continuer leur activité uniquement si elle est menée en plein air. Par ailleurs, nous voulons réglementer le nombre de poules détenues. Ces endroits morbides, où des milliers de poules sont entassées, sont créateurs et vecteurs de maladies. Les éleveurs devront adapter leurs exploitations ou les fermer.<a>En savoir plus...</a><h6>Élevage de foie gras</h6><ul><li>Les fermes de foie gras de canards ou d’oies doivent fermer et seront interdites, puisque le gavage en soi est de la maltraitance. L’Etat devra accompagner et aider les producteurs vers une reconversion dans un secteur éthique et respectueux de tous les êtres vivants. Le foie gras, sa production et la vente doivent être interdits En savoir plus...Élevage de porcs Il ne sera plus permis de maintenir les porcs uniquement à l’intérieur sous une lumière artificielle. Les porcs devraient avoir un accès au grand air. Les boxes de gestation, où les truies se trouvent enfermées entre des barreaux, seront interdits. Les truies auront la possibilité de faire des nids et de soigner leur progéniture. Au niveau de la castration chirurgicale des porcelets pour prévenir l’odeur de verrat, il existe simplement un engagement volontaire pris par le secteur il y a quelques années, mais celui-ci n’est pas respecté. Pourtant, en 2013, la castration à vif des porcelets fut presque interdite, mais certaines régions n’ont pas approuvé à l’époque l’arrêté royal. Nous exigeons l’interdiction ferme de la castration chirurgicale des porcelets, avec effet immédiat. La caudectomie et la section des couronnes dentaires à vif doivent être interdites Élevage de bovinsLes vaches seront logées en troupeaux de famille. Les veaux ne seront plus séparés de leur mère directement après la naissance, mais pourront grandir près de leurs mères et boire le lait qui leur est destiné. La production de viande de veau blanche sera interdite. Il est totalement inacceptable que les veaux soient rendus malades volontairement à l’aide d’un régime alimentaire déficient en fer et responsable d’anémie.<a>En savoir plus. Élevage de lapins. Les élevages de lapins en batterie sont déjà supprimés, toutefois nous exigeons que les lapins aient tous accès à l'extérieur et que leur logement soit adapté à leur comportement naturel.Élevage pour la fourrure et le duvet ;Les élevages d’animaux destinés à la fourrure seront interdits, tout comme ceux destinés à la production de duvet.&lt;a&gt;En savoir plus.
- Comme première étape DierAnimal ne souhaite plus que des permis pour la construction de nouveaux élevages d'animaux pour la fourrure et pour le duvet soient accordés, ni que des permis pour leur agrandissement soient octroyés. Les exploitations existantes doivent être fermées aussi vite que possible, sans compensations financières.</li><li>L’importation, l’exportation, le trafic et la vente de toutes sortes de fourrures animales sera interdite au niveau de l’UE, en suivant l’exemple de la Californie. En attendant, la fourrure animale importée d'autres pays hors UE sera taxée davantage. L’étiquetage des produits contenant de la fourrure est sujet à une fraude élevée. De la fourrure importée et étiquettée en tant que fourrure synthétique est en réalité de la fourrure provenant de chiens et de chats. Les normes et le contrôle au niveau de l’étiquetage correct des produits à fourrure seront dorénavant renforcés. ;Mesures diverses de l’élevage .Mutilations ;Nous interdirons la castration des porcelets à vifs, le meulage des dents et le découpage des queues Cependant, il y a d'autres interventions et pratiques non-respectueuses des animaux qui sont actuellement utilisés par l'élevage sur les bovins, ovins, poules, etc. que DierAnimal veut interdire. Il s’agit d’autres types de mutilations d'animaux tels que la caudectomie chez les brébis, la coupure des becs chez les oiseaux ou le décorante des vaches ou des chèvres qui sont aussi inadmissibles. Caudectomie chez les ovins La caudectomie est interdite pour les béliers, toutefois cette intervention est toujours permise chez les brebis, suite à une dérogation. DierAnimal veut abroger cette dérogation afin d'appliquer pleinement l'interdiction. En savoir plus... ;Sexage de nouveaux-nés animaux DierAnimal veut une interdiction imminente sur le sexage des poussins et canetons. Dans les élevages de poulets les poussins mâles, sont broyés, gazés ou noyés vivants dès leur sorti de l'œuf, soit parce qu’ils ne pondent pas d’œufs (dans l’élevage de poules pondeuses) ou parce qu’ils ne grandissent pas assez vite (dans l’industrie de poulet de chair). Dans le secteur du foie gras, ce sont les canetons femelles, dont le foie est plus petit, qui sont broyées vivantes.;Méthodes d’identification Les règles européennes d’identification dépassées qui obligent l’identification auriculaire des animaux disparaîtront. Il y a des alternatives plus respectueuses des animaux, comme le puçage, qui permet d’enregistrer les données d’identification des animaux de manière beaucoup plus simple dans une base de données nationale, contenant toutes les données des animaux et de leurs propriétaires/responsables. Gérer les maladies des animaux. Grâce à une régionalisation de l’agriculture, l’interdiction des transports d’animaux sur de longues distances et la réduction de l’élevage, les risques d’épidémies pour les animaux diminueront. Si une maladie non-mortelle se manifeste, la norme sera la convalescence des animaux. Les animaux ne pourront plus être tués pour des raisons économiques. ;Abattage par mesures de précaution DierAnimal est totalement opposé aux abattages par mesures de précaution dans le cas d'apparition d'épidémies. ;En savoir plus...L’usage d’antibiotiques dans l’élevage sera soumis à des règles très strictes. L’administration d’antibiotiques de manière proactive sera interdite Les médicaments utilisés chez les animaux comme promoteurs de croissance ou autres buts préventifs et d'ordre économiques, doivent être interdits. Le ministère de la Santé publique en coordination avec le Ministère de la Protection Animale gèrera la situation en cas de maladies animales potentiellement contagieuses pour les êtres humains (zoönoses). Procréation, fertilité et sélection chez les animaux d’élevage Beaucoup d’animaux ont été élevés et sélectionnés de sorte qu’ils soient prêts pour l’abattage après à peine quelques semaines. Cela engendre des graves problèmes de bien-être. Une existence animale digne implique que les animaux puissent se reproduire de manière naturelle et vivre longtemps. La sélection pour une rapidité de croissance extrême, comme chez les poules et les cochons, et vers une production laitière intensive comme chez les vaches laitières, sera interdite. Les poulets gonflés qui sont incapables de rester debout sur leurs pattes, et les vaches de type culard qui sont incapables d’accoucher de manière naturelle seront une chose du passé. Interdiction de toute méthode de procréation souvent douloureuse comme les inséminations artificielles, les rinçages embryonnaires ou les transplantations d’embryons et des traitements hormonaux. Interdiction de l’usage des produits hormonaux en provenance des fermes à sang avec des juments enceintes.<span><span>&lt;a&gt;En savoir plus...sur les fermes à juments en Amérique du Sud.&lt;/a&gt;</span></span></li><li>Pas d’autorisation pour le développement de nouvelles méthodes de procréation si celles-ci violent l’intégrité corporelle et le bien-être des animaux.</li><li>La manipulation génétique et le clonage des animaux est éthiquement inacceptable et génère de la souffrance animale.</li><li>La Belgique s’engage pour une interdiction de l’importation d’animaux clonés et transgéniques, leur progéniture et les produits qui sont fabriqués à partir de ces animaux. La Belgique s’engage activement pour la création d’un système de traçage mondial qui a pour but de pouvoir contrôler le commerce des animaux clonés.;Contrôle de l’application des règles dans l’élevage Le contrôle de tous les maillons dans l’élevage sera intensifié et sera dans les mains du Ministère de la Protection Animale. Celui-ci disposera d’un budget conséquent et de suffisamment de superviseurs. Les superviseurs pourront directement verbaliser et le Ministère rendra public, le résultat de ces contrôles. ;Transport des animaux Le transport d'animaux vivants devra se limiter à une durée de 2 heures. ;Pendant des journées à haute température (c’est à dire, des températures qui excèdent 25 degrés Celsius) les animaux ne pourront pas être transportés. Le nombre d'animaux dans les camions ne pourra pas excéder un nombre qui permet aux animaux d'avoir assez d'espace pour se mouvoir.Tout véhicule transportant du bétail sera doté d’un système de localisation par GPS, indépendamment de la durée du transport, ainsi que d’une caméra de surveillance qui permettront au Ministère de la Protection Animale de suivre les trajets. Les organisations de protection animale pourront les consulter sur demande.</li><li>DierAnimal est favorable à une réglementation européenne qui interdit le transport transfrontalier d’animaux vivants. Ceci signifie que plus aucun camion transportant des animaux vivants en provenance d’un autre pays que la Belgique, ne sera autorisé à entrer sur le territoire belge.</li><li>A plus courte échéance, les transports d’animaux vivants vers des pays en dehors de l’Union européenne, comme la Turquie ou le Moyen Orient, ne seront plus admis. L’importation et le transfert via l’UE d’animaux en provenance de par exemple les Amériques vers l’Asie sera également prohibé.</li><li>Les sociétés de transports qui effectuent ce genre de missions de transport vers la mort, devront payer une taxe supplémentaire.</li><li>Les contrôles sur le respect des règles de transport belges et européennes seront endurcis.</li></ul><h6>Commerce de bétail</h6><ul><li>Les marchés de bétail, ainsi que les expositions de bétail, à des fins commerciales ou folkloriques seront interdits.</li></ul><h6>Abattoirs et abattage</h6><ul><li>Le parti veut une interdiction totale quant à la construction de nouveaux abattoirs et l’agrandissement des installations d’abattage existantes. Ceci comme première étape afin de rendre les abattoirs obsolètes à long terme, puisque DierAnimal aspire à une société où plus aucun animal n'est privé de sa vie.</li><li>Les abattoirs existants seront taxés d'une nouvelle taxe imposée aux entreprises dont la production est basée sur la cruauté.Les abattoirs ne respectent pas l'article 1er de la loi relative à la protection et au bien-être des animaux. « Nul ne peut se livrer sciemment à des actes non visés par la présente loi, qui ont pour but de faire périr inutilement un animal ou de lui causer inutilement une mutilation, une lésion ou des souffrances ». On part du constat, qu'il est complètement inutile d'ôter la vie à un animal pour se nourrir, comme l’ont démontrés de nombres publications scientifiques au cours de ces dernières décennies. A ce jour, il a été clairement démontré que l’alimentation végétale satisfait amplement les besoins nutritionnels et réduit fortement les risques d’incidence de pathologies telles que le diabète, certains cancers, les maladies cardio-vasculaires etc. De plus, pour ceux qui veulent absolument encore consommer de la viande, il y a la nouvelle technologie de la viande cultivée en laboratoire (la viande in vitro) qui est en plein développement. Elle permettra de rompre le lien entre la viande, l’élevage et l’abattage d’animaux qui jusqu’ici est indissociable. Nous sommes favorables à un éventuel appui de ce nouveau développement technologique par l’Etat. Notre parti ne veut par conséquent plus que des autorisations ou des permis d’exploitation soient accordés, ni prolongés.Concernant les techniques d'étourdissement, de nouvelles méthodes doivent être étudiées. Entre-temps, tout animal devra être étourdi avant sa mise à mort avec les méthodes d'étourdissement actuelles et plus aucune exception (religieuse ou autre) ne pourra être accordée. L'étourdissement&nbsp; de l'animal, avant son abattage doit être garanti.L’interdiction au niveau de l’abattage sans étourdissement sera généralisée sans aucune exception. Il y aura une interdiction belge et européenne du commerce de viande issu d’abattage sans étourdissement. Aussi longtemps que ce type de viande reste dans le commerce, une étiquetage appropriée sera obligatoire. Afin de s’assurer que tout animal dans la chaîne d’abattage soit totalement étourdi et inconscient, un rythme d'abattage maximal sera imposé par le législateurTous les abattoirs et les étables devraient être dotés de caméras de vidéosurveillance 24h/24h, consultables en direct et en ligne, enregistrées par le Ministère de la Protection animale et les associations pour la défense et la protection des animaux pourront les consulter sur demande.</li><li>Les contrôleurs du Ministère de la Protection Animale pourront à tout moment avoir accès à tout abattoir.;Les abattoirs travailleront en toute transparence s'ils veulent continuer cette activité.